L’avocate qui rêvait de justice

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Lorsque son neveu meurt dans un accident, une brillante avocate remet en question sa vie professionnelle et sa relation avec sa sœur. L’amour et la mort se retrouvent au centre de ce drame familial et existentiel. Dans ce roman touchant, le lecteur découvre des réflexions profondes sur la justice, la vengeance, la réparation et le pardon. Il est emporté dans une passionnante quête intellectuelle et spirituelle grâce aux nombreux rebondissements vécus par les personnages.

Ce roman d’inspiration remet en question notre conception même de la justice, du bien et du mal, et il ébranle nos convictions.

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Edition papier: 23.81$

Format Ebook: 11$ (À venir)

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Description

Maître Vallières a choisi le style romanesque pour vous livrer sa vision d’une justice globale et porteuse d’espoir. Sans jamais nier l’importance du système judiciaire, elle invite les personnes à se tourner vers des dialogues de qualité pour régler les différends et vivre la paix sociale, car les batailles coûtent trop cher. Elle transmet des concepts abstraits pas le biais d’un récit original et concret.

 

TÉMOIGNAGES

« Me Vallières, c’est avec un doux sourire et une grande gratitude au coeur que je viens de terminer de lire votre précieux livre. Comme je suis devenue psychologue, mais, qu’enfant, je désirais être avocate, la profondeur de votre réflexion sur la justice et l’être humain m’a vivement tenue en haleine de la première à la dernière page.

Votre livre parle tellement plus que de justice… Il rappelle que devant l’adversité, il y a toujours un choix à faire, que derrière l’adversité, il y a ordinairement un cadeau et que pendant l’adversité, chacun a à vivre ses émotions et ses expériences qui lui sont propres. Quel beau message : rien ne s’oublie, mais tout a la possibilité d’être transformé pour le plus grand bien de tous. Vos personnages le démontrent bien. Votre écriture est simple, accessible et éducative. Je vous remercie des bons moments que j’ai passés à vous lire. »

Marie-France Savard, MPs, psychologue, conseillère RH en formation et en développement organisationnel

 

 

« Ce roman d’inspiration est la réplique de notre société, de nos pensées. L’authenticité du récit et le désir de l’auteure de nous amener plus loin que la réalité visible nous permettent de découvrir le pouvoir de la « Justice ». Serons-nous plus heureux et soulagés psychologiquement si nous privilégions l’approche Œil-pour-Œil ou l’approche de la Justice Divine ? Une excellente réflexion sur ces concepts. »

Louise Turgeon, Chroniqueuse littéraire

 

 

« L’Avocate qui rêvait de justice »… Un roman!  Un vrai!  Quelle lecture inspirante!  Et quelle belle façon de transmettre ses connaissances… Me Vallières, réussit un exploit sans précédent en résumant de façon accessible, efficace, passionnante et captivante des concepts et sujets abordés dans le cadre d’une formation universitaire de deuxième cycle! Tout un défi! Bravo! Et, puisque c’est un peu mon histoire, j’ai trouvé le cadeau de Noël idéal pour les gens que j’aime … »

Marie-Josée Brunelle, avocate, médiatrice accréditée

 

 

« La Justice est indispensable pour assurer notre vie en société, mais comme l’illustre la page couverture de ce volume, la Justice est aveugle. En tant qu’avocate et médiatrice familiale, Céline Vallières a recueilli de nombreux témoignages de personnes qui lui ont fait part de leur sentiment d’injustice et de leur déception face aux résultats obtenus par leurs démarches auprès des tribunaux. Le rôle du système judiciaire est d’appliquer le droit et non de satisfaire les personnes. Il n’est pas de son ressort de tenir compte des perceptions ni des sentiments. Plus qu’un roman, L’avocate qui rêvait de justice nous invite à réfléchir sur l’épineuse question de la Justice et élève notre regard vers des dimensions universelles qui transcendent la justice des hommes ».

Linda Bérubé, MSS, TS, consultante, médiatrice et formatrice

 

 

« Globalement, j’ai aimé ce livre. J’ai passé de belles heures en compagnie des personnages qui sont tous émouvants et inspirants dans ce qu’ils vivent. Gabrielle dans sa recherche est touchante, humaine et profonde dans son désir de justice. La détresse, le désespoir et l’espoir de Madeline dans son processus de deuil a touché mon coeur de mère.

Tout au long de ma lecture, j’ai moi aussi réfléchi et médité sur la justice des droits humains, la justice Divine et mon propre sens de la justice. Les questions pertinentes de Gabrielle m’ont amenée dans une démarche personnelle qui a ouvert ma conscience et mon coeur à une réalité importante de justice-équité dans mes relations tant en pensées, paroles et actions. Merci de m’avoir donné cette opportunité.

En plus, j’ai aussi beaucoup aimé les figures de style poétique, imagées et parfois humoristiques. J’ai compris à la fin de ma lecture qu’il y a une préparation pour l’écriture d’un deuxième livre en élaborant encore plus largement le concept de justice. Bravo Me Vallières, continuez ce beau travail qui amène une plus grande conscience de cette réalité humaine si importante. »

Jocelyne Dumais, infirmière retraitée

 

 

« Il y a des livres qu’on commence et qu’on laisse de côté. Il y en a d’autres que l’on termine rapidement. Dans mon cas, j’ai choisi de prendre mon temps, et ce, pour faire durer le plaisir. J’ai beaucoup aimé ce roman et j’ai pris du recul après chacun des chapitres. Il y a ici et là des perles que j’ai surlignées pour m’en rappeler. L’auteure écrit très bien. En fait, j’aime beaucoup son style descriptif. On dirait qu’on est à côté des personnages. Des heures de bonheur. J’ai hâte de lire le second ouvrage! »

Isabelle Cantin, avocate, conseillère en ressources humaines agrée

 

 

« J’ai reçu L’avocate qui rêvait de justice une heure avant de partir en vacances. Alors, je l’ai glissé avec joie dans mes bagages. Je l’ai lu avec beaucoup d’émotions. Il est touchant et très inspirant. Je dirais même qu’il fait partie de la très sélecte catégorie des livres qu’on nomme les « feel good books ». Merci d’avoir écrit ce livre. Je suis totalement persuadée qu’il fera avancer la conscience collective. Félicitations! »

Chantal Blanchette, auteure et directrice

 

 

« J’ai dévoré votre livre, je l’ai beaucoup aimé. Je me suis reconnu dans les interrogations, les doutes, les prises de conscience par rapport à la carrière de Gabrielle, votre personnage principal. Sa réflexion a nourri la mienne. Je me suis reconnu dans elle; même si mon chemin de vie a été différent du sien. Sa réflexion sur la justice est très intéressante. Je me rappelle quand j’ai fait mes études de médiation m’être posé les mêmes questions.

La notion de Justice divine m’a amenée à m’interroger sur le sens de la Souffrance humaine. Pourquoi tant de souffrance sur la terre. Pourquoi souffrir? Qu’est qui provoque la Souffrance? C’est du côté des philosophies orientales que j’ai pu trouver un début de réponse, j’ai hâte de voir quelle sera la vôtre.  Je sais que vous saurez rendre cela encore très intéressant et inspirant. »

Jean Duval, comptable professionnel agréé et médiateur accrédité

 

 

« Intéressant, enrichissant et même spirituel. À travers les yeux d’une avocate, l’auteure nous fait découvrir la vraie nature de l’être. Encore faut-il se donner des outils pour atteindre cette paix intérieure.

Félicitation Céline, vous avez su transmettre l’évolution de votre cheminement si captivant. Merci. »

Gina Côté, Homéopathe, naturothérapeute et massothérapeute

 

 

« L’avocate qui rêvait de justice m’a captivée à un point tel que je n’étais pas capable de le lâcher et je l’ai lu en 24 h ou presque…

J’ai aimé la trame juridique comme schéma de du récit, cela m’a appris sur ce monde mystérieux, pour une néophyte comme moi. C’est bien écrit et le suspense était bien amené. On voit que l’auteure y a mis du temps, c’est une présentation de qualité. J’espère seulement qu’elle n’attendra pas aussi longtemps pour nous captiver encore. Son talent d’écriture est indéniable et je l’encourage très fort. »

 

Marie Thérèse Beaulieu, thérapeute

 

 

« J’ai lu L’avocate qui rêvait de justice dernièrement et je l’ai adoré. J’ai trouvé la première partie un peu dure, émotivement, puisqu’il s’agit beaucoup de la mort d’Alex, des évènements y étant reliés et des émotions vécues par les personnages. Par la suite, à partir de la quête de l’avocate, j’ai eu beaucoup de plaisir à dévorer ce livre. J’adore la relation professionnelle spirituelle que l’auteure y a mis. Pour moi, le passage culminant est le chapitre 34 : j’ai versé beaucoup de larmes lors de la lecture de cette rencontre entre deux personnages.

Je vous remercie pour le voyage que vous m’avez fait faire par le biais de votre œuvre. Au plaisir de vous lire à nouveau. »

Alexandre Boivin, Conseiller en relations du travail

 

 

« J’ai lu L’avocate qui rêvait de justice avec une curiosité constante en quelques jours. Bravo! J’ai retenu quelques citations et j’ai apprécié l’intrigue. Merci! »

Clément Massé, avocat

 

 

« J’ai beaucoup aimé ce livre. Je l’ai dévoré en peu de temps, ensuite j’y suis revenue pour le déguster à petites « pages ».  Il m’a connecté à mes émotions face à la mort, face au deuil et face à l’injustice.

Oui, face à l’injustice de la vie, à l’injustice des humains importants autour de nous, et aussi face à la justice qui devrait être celle qui est juste.

L’apprentissage important à travers ma lecture, dont je garde « l’odeur » c’est que parfois dans la vie, rien n’arrive comme nos désirs le voulaient et en mêmes temps, on sent après mûre réflexion que le mieux est arrivé pour nous …

Pour mon travail de formatrice dans une maison d’hébergement pour femmes violentées et en difficulté, je vais me servir de l’image de la balance intérieure qui nous permet de juger du bien-fondé de nos actions. Je vais l’imager en ajoutant du texte autour, dans mes ateliers du matin. Ce sera une autre des « clés » pour les dames, pour se reprendre en main.

Il est parfois difficile de faire réaliser aux femmes qu’elles ont le droit et le devoir de se bâtir une vie meilleure pour elles et leurs enfants avec un conjoint sans violence.

Un livre comme celui-là un cadeau pour l’âme. Merci d’avoir partagé cette tranche de vie avec moi et les autres lecteurs. »

Odette Bergeron, animatrice